Dans son enfance, le Cocon de Christine a été l’écurie où elle retrouvait des chevaux.
Véritable refuge pour elle, elle pouvait y prendre du recul par rapport aux tumultes de sa vie familiale fortement impactée par la maladie de son père et les violences au sein du couple de ses parents.
A l’adolescence et lorsqu’elle était jeune adulte, les chevaux sont restés sont point d’ancrage.
Auprès d’eux, Christine s’apaisait, se ressourçait, développait ses ressources intérieures.
Grâce à eux, elle parvenait à se (re)motiver pour, ensuite, retourner dans les différentes autres sphères de sa vie, où sa quête d’être aimée telle qu’elle était, ses besoins de légitimité et de reconnaissance ne trouvaient pas de satisfaction dans sa relations aux autres.
Elle souffrait mais, son tempérament de battante l’a conduite à se sur-adapter à ces différents environnements pour tenter de s’y faire une place.
Au fil des années, elle s’est de plus en plus éloignée d’elle-même,
de ses valeurs et de ce qui faisait sens pour elle.
A 43 ans, en mars 2011, après un accident avec son cheval Gai Totophe
qui aurait pu leur coûter la vie à tous les deux,
Christine a décidé de demander une rupture conventionnelle de son contrat de travail
et de se retirer dans un nouveau Cocon,
un lieu protégé, entouré de nature, où vivaient ses deux chevaux.
Elle est restée plus de 2 mois dans ce cocon et,
c’est dans le pré de ses chevaux que l’aventure Un cocon pour soi a commencé.
Sans en être consciente, elle s’est offert l’expérience d’un Cocon pour soi, pour elle-même.
A l’époque, elle était en situation d’épuisement au travail,
sphère de sa vie qu’elle avait surinvesti au détriment des autres.
Elle ne savait plus qui elle était et plus rien n’avait de sens dans sa vie.
Elle était animée d’un profond sentiment d’injustice
et envahie par de nombreux questionnements qui ne faisaient qu’entretenir son mal-être.
· Pourquoi malgré tous les efforts qu’elle avait produits dans sa vie,
elle ne parvenait pas à être heureuse, à se sentir calme à l’intérieur d’elle-même ?
· Pourquoi malgré sa situation professionnelle, sa passion pour ses chevaux, ses relations amicales,
elle demeurait anxieuse ?
et avait le sentiment amer de passer à côté de sa vie ?
· Pourquoi ne parvenait-elle pas à avoir des relations harmonieuses avec ses proches, ses collègues de travail ou son partenaire de vie ?
Ce cocon lui a permis de revenir à ses besoins essentiels
manger, boire, se reposer, se divertir
grâce à des moments de qualité avec ses chevaux
et à la présence d’une femme bienveillante et non-jugeante.
Au fil des semaines, son énergie est revenue, plus joyeuse, plus disponible,
avec une idée qui ne l’a plus lâchée ensuite,
se reconvertir professionnellement
et créer un centre d’accueil pour accompagner les humains avec des animaux.
C’est ainsi que l’aventure Un Cocon pour soi a démarré,
avec une première expérience qui a duré 10 ans,
avec son entreprise "Le Trait d'Union Calmétien"
Après s’être formée à la médiation par l’animal
et à l’approche de l’humain au travers de différents outils
– thérapeutique, de communication adaptée –
le 1er juin 2015,
Christine a créé sa micro-entreprise
à Chaumes en Brie (Seine et Marne) « Le Trait D’union Calmétien ».
Durant 10 ans, elle a expérimenté dans la relation avec ses propres animaux,
dans la relation avec les personnes qu’elle a accompagnée avec ses animaux
et, dans la relation à ses proches
tout ce qu’elle propose aujourd’hui à Un Cocon pour soi.
Un Cocon pour soi est le fruit de tous les enseignements
qu’elle a tiré de la richesse de ces expériences.
En juillet 2025, Christine a eu la chance de rencontrer Daniela et Fred
qui lui ont proposée de devenir la gardienne de leur propriété à Villeneuve-sur-Lot.
Séduite par ce projet et la beauté du domaine, animée de valeurs et sensibilités communes,
Christine a accepté et a déménagé en octobre 2025 à 650 km de chez elle avec toute sa troupe à quatre pattes
pour établir sur ce nouveau lieu de vie :
Un Cocon pour Soi
C’est un lieu de transmission,
au travers d’une expérience immersive avec ses animaux dans la nature,
du processus qui lui a permis
d’ancrer, en elle, une profonde sécurité intérieure
pour être capable aujourd’hui
de vivre une relation apaisée et équilibrée
tant avec elle-même que les autres
et d'éprouver une profonde gratitude pour la vie et tous les événements,
même les plus douloureux, qu'elle l'a invitée à vivre.
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